9e édition 2 — 3 — 4 décembre 2022
Vernissage vendredi 2/12 à 19h
Happening le dimanche après-midi !
Tirage au sort de la Tombol’Art 2022 dimanche 4/12 à 14h30 !
Horaires d’ouverture :
Vendredi de 17h à 21h
Samedi et dimanche de 11h à 18h30
PHOTOGRAPHIE
du 14 au 26 novembre 2022
(du lundi au vendredi de 14h30 à 18h30)
► Vernissage
le mardi 15 novembre à 18h30
► Rencontre Échange
le samedi 26 novembre à 18h30
Cette démarche est l’exploration d’une veine photographique, non comme expression héroïque, mais comme vestige ou empreinte. Les corps sont moulés dans du plâtre puis photographiés. Ces empreintes, parfois positives, parfois négatives apparaissent dans des tirages au noir profond. Les corps-momies figurent une vie devant la mort, un état paradoxal, une transgression. Le geste a la beauté de l’archéologue, de l’inventeur d’un site prodigieux, d’un théâtre en perpétuel mouvement.
La photographie est le voile qui permet de cacher et de montrer à la fois. Elle ajoute un décalage entre perception du réel et perception de l’image. La prise de vue est une prise d’images voilées. L’obturateur de l’appareil photographique possède aussi cette action de dévoilement : pendant un instant le négatif est plongé dans un bain de lumière, puis “s’impressionne” de l’image qu’il transforme en image latente, positionnée sur le négatif.
Le moulage sur nature est une forme d’écriture qui participe à cette vision de dislocation et de fragmentation du corps humain, pour aboutir au renouvellement d’une expression plastique propre. Dans ces recadrages du corps, suscités par le moulage et la photographie, se déchiffre le lien complice entre l’artiste et le modèle.
Site Internet : https://gillesarnould.jimdofree.com/
Opération “Noël à L’app’Art” ! — 9e édition 2 — 3 — 4 décembre 2022
Appel à candidatures
Pour la neuvième année consécutive, L’app’Art vous propose son « Noël à L’app’Art ».
Compte-tenu des nombreuses demandes pour exposer, l’association procèdera comme les années précédentes à une sélection des artistes retenu(e)s.
Si vous souhaitez exposer, vous-même ou un(e) de vos ami(e)s, merci d’envoyer le bulletin de demande de participation (téléchargeable ici : en version PDF.pdf ou en version Word .doc), accompagné de quelques photos du travail que vous aimeriez présenter, à l’adresse suivante :
contact@galerie-appart.org
jusqu’au 6 novembre 2022 inclus.
Tous les détails sont sur les fichiers à télécharger ci-dessus.
Merci et à très bientôt !
Peintures à l’huile
24 octobre au 5 novembre
(du lundi au vendredi de 14h30 à 18h30)
► Vernissage
le mardi 25 octobre à 18h30
► Rencontre Échange
le mercredi 2 novembre à 18h30
Christelle DESANGLES est née le 9 septembre 1978. Originaire du Gers elle s’installa en Corrèze en 1999. Son atelier est aujourd’hui situé 2 rue Villebois à Brive, où elle exerce son métier d’artiste peintre.
Autodidacte, Christelle est une peintre de l’instinct. La musique est aussi l’élément essentiel dans son travail, impossible pour elle de la dissocier. Elle est animée depuis son plus jeune âge par ce bleu ciel-océan. Elle donne naissance à des paysages imaginaires abstraits que chacun peut s’approprier avec sa propre sensibilité.
Passionnée du ciel, toujours la tête dans les étoiles, Christelle a peint dans le passé une série de tableaux dédiés à l’espace. Elle est d’ailleurs membre de l’association of International Astronomical Artists situées à Tucson aux Etats Unis. Elle est à ce jour la seule artiste française membre de cette association.
Avec cette série d’huiles sur toile, l’artiste française de Brive-la-Gaillarde trace en effet une ligne poreuse entre deux infinis.
Sa quête artistique est comme un pont jeté entre deux rives.
L’œuvre de Christelle DESANGLES se distingue par un dialogue fécond entre l’œuvre et le spectateur. Sa production semble vouloir entrer en contact en effet avec ce quelque chose d’incréé en l’homme, avec cette part invisible de nous-même où la conscience renoue avec ses eaux matricielles : l’une céleste, idéaliste, l’autre océanique et profonde.
Instagram et Facebook : Christelle Desangles Artiste
Peintures
10 au 22 octobre 2022
(du lundi au vendredi de 14h30 à 18h30)
► Vernissage
le mardi 11 octobre à 18h30
► Rencontre Échange
le samedi 22 octobre à 17h00
Artiste né en 1946 à Paris. Depuis 15 ans J‑Claude Bernard a quitté la région parisienne pour installer son lieu de vie et son atelier sur l’île de La Réunion. Après avoir essayé de saisir les diversités de cette île dans son travail pictural il est actuellement de retour en métropole et s’est installé dans un nouvel atelier dans la région de Bordeaux.
Après la fréquentation de plusieurs ateliers, ce qui était déjà devenu une passion s’est transformé en un besoin permanent d’expression et de confrontation avec le public.
Après avoir partagé son travail pictural avec une carrière pour le compte du ministère de l’Equipement qui l’a amené entre autres à mettre en place une exposition d’architecture au centre Pompidou de Paris en 1990 et à Montréal l’année suivante puis à gérer le fonctionnement du service de l’Information et de la Communication du Ministre. Il a cessé son activité professionnelle depuis maintenant 20 ans pour se consacrer totalement à son art.
Tout en poursuivant une recherche sur la perception renfermant l’ensemble des éléments marquants d’un paysage ou d’une scène donnée afin d’en traduire l’essentiel des formes et des couleurs, son travail actuel c’est orienté vers des traces de silhouettes et d’éléments de corps humains ainsi que des recompositions des paysages qui l’entoure dans son île dans un rendu à la limite entre une abstraction et une figuration.
Dans cette présentation il cherche à nous faire partager sa vision des espaces de l’île de La Réunion dans des paysages « intérieurs » ou réels.
Il cherche à prendre un peu de distances par rapport à la seule représentation pour proposer des « impressions » plus qu’une réalité en privilégiant les couleurs à la forme ; l’important pour lui est de pouvoir partager avec le visiteur son ressenti sur les thèmes proposés.
Il travaille essentiellement au couteau sur des toiles qu’il monte et prépare lui-même estimant ce travail nécessaire avant l’introduction de la couleur.
Photographe et plasticien.
19/09 au 01/10 2022
(du lundi au vendredi de 14h30 à 18h30)
► Vernissage
le mardi 20 septembre à 18h30
► Rencontre Échange
le mercredi 28 septembre à 18h30
Exposition évolutive du 5 au 17 septembre 2022 (du lundi au vendredi de 14h30 à18h30)
Vernissage le mardi 6 septembre à 18h30 en présence de l’artiste
Fin de l’exposition évolutive samedi 17 septembre à 17h
Mon travail est créé instinctivement, et pas au travers d’un “concept”. Le ressenti et l’intuition sont primordiaux. Je recherche la sincérité et la qualité. Ce n’est que de cette manière que le travail a une chance de réussir. À travers mes peintures et mes dessins, j’essaie de donner à la vie une forme d’expression, et j’espère que cela est ressenti par ceux qui la voient. Je veux dépeindre l’espace émotionnel tout comme vous remplissez l’espace lorsque vous parlez à quelqu’un.
Qui est Ellen Haarhuis ?
Ellen Haarhuis est née le 30 juillet 1965. Elle a vécu et travaillé à Breda (Pays-Bas) et est désormais installée en France à Azat le Ris (Haute-Vienne) en tant qu’artiste indépendante.
Ellen Haarhuis, qui a étudié à l’Académie des Beaux-Arts d’Amsterdam, réalise des peintures, des dessins et des estampes graphiques.
Parallèlement à ses activités créatives, elle enseigne et anime des ateliers artistiques pour des entreprises et a été professeur de lycée, ainsi qu’artiste en résidence, spécialisée dans l’enseignement aux personnes handicapées mentales et physiques. Elle enseigne également des techniques de relaxation et d’exercice physique.
Ellen est titulaire d’une licence de pilote de montgolfière — elle a travaillé comme pilote de ballon professionnel — et possède également une formation de coupeuse sur tissu. Elle a participé à la restauration du plafond peint de l’ancien hôtel de ville de Wageningen, aux Pays-Bas.
Association Shamwari
L’ensemble de l’équipe de la galerie associative L’app’Art vous invite à
Arts d’Afrique(s)
en partenariat avec l’association Shamwari et Shayne Garde-Girardin
Exposition du lundi 18 juillet au vendredi 12 août 2022 inclus
Ouverture de la galerie tous les jours sauf dimanche de 14h à 19h
Vernissage lundi 18 juillet à partir de 18h (attention, jour inhabituel)
Vu la chaleur les après-midis, n’hésitez pas à venir voir l’expo le matin…
Appelez Shayne au 06 03 00 84 20 pour organiser une visite le matin !
Vernissage le lundi 18 juillet
à 18h00
Les artistes-sculpteurs reviennent après 2 ans d’absence… YES!!
“Ubuntu”, une philosophie africaine, nous dit que “j’existe parce que tu existes et nous existons parce que tout autour de nous existe. Nous appartenons tous à quelque chose de plus grand”. Nous sommes tous connectés en tout et à tout.
Venez parler de cela avec nous et voir les très belles œuvres contemporaines et revoir ou rencontrer les artistes.
À très bientôt pour rencontrer, parler, partager, montrer.…et pourquoi pas acheter.….. Comme disent Noah Tabo et tant d’artistes.
“Buy art from the living artists, the dead ones don’t need money”
L’équipe de L’app’Art et ses amis Shayne, Rickson, Steph, Goodson et Noah ‑FB Arts Shamwari
Exposition Collective
L’équipe de la galerie associative L’app’Art vous invite à l’exposition collective des artistes ARMELLE ANTIER / JOSÉ CORREA / LUCIE DURBIANO / LOLMEDE dans le cadre de notre partenariat avec le festival Mimos. (Organisation de l’exposition avec la compagnie Ouïe/Dire)
Du 4 au 16 juillet 2022.
Horaires d’ouvertures habituels : du lundi au samedi de 14h30 à 18h30.
Vernissage le mardi 5 juillet
à 18h30
“Enfermement”
L’équipe de la galerie associative L’app’Art vous invite à l’exposition personnelle de l’artiste photographe Anne-Marie Filaire dans le cadre de notre partenariat avec le festival Ôrizons. Du 7 au 25 juin 2022.
Horaires d’ouvertures habituels : du lundi au samedi de 14h30 à 18h30.
Le travail photographique d’Anne-Marie Filaire à Jérusalem débute en 1999. En 2004, au moment de la construction du mur de séparation, elle commence à faire des relevés de terrain sur les zones frontières. Elle est revenue photographier ces lieux régulièrement pour enregistrer les bouleversements des paysages.
